Motivational Speaker, Coach en Développement Personnel, Entrepreneur, Infopreneur et Écrivain, Fondateur des Éditions UNE VIE FORMIDABLE.
SUCCESS STORY
NIKE est sans doute la marque de sport la plus connue au monde: ses chaussures frappées du fameux swoosh s’affichent sur tout les cours, terrains, playgrounds et trottoirs de la planète. Derrière cette Succes story se cache un homme à la volonté et au destin hors du commun: Phil Knight. En 1962, fraîchement diplômé, il emprunte 50$ à son père et crée sa petite entreprise d’import de chaussures de course, vendant sa marchandise depuis le coffre de sa voiture. Cinquante ans plus tard, NIKE pèse 30 milliards de dollars de chiffre d’affaires et règne sur le marché de l’équipement sportif. Mais Knight reste un homme mystérieux. Dans son livre l’art de la victoire, le fondateur de la marque NIKE raconte pour la première fois son histoire, guidé par une passion et une soif d’innover intarissables, mais aussi un esprit de bande infaillible. Cet récit riche regorge de leçons qui parleront à chacun: Comment partir de zéro, surmonter l’adversité pour finalement se hisser sur le toit du monde.
<<J’ai été très endetté une bonne partie de ma vie. Quand j’étais un jeune entrepreneur, je suis devenu très familier avec l’idée d’aller me coucher chaque nuit et de me réveiller chaque matin en sachant que je devais à un certain nombre de gens une somme d’argent bien supérieure à celle que je pouvais rembourser. Pendant ma jeunesse, je n’avais jamais eu de petite amie. Si j’avais tendance à m’éterniser sur tout ce que je n’étais pas, la raison en était simple. J’avais du mal à définir qui j’étais, ou qui je pourrais devenir. Comme tous mes amis, je voulais réussir. Mais contrairement à eux, je ne savais pas ce que cela signifiait. L’argent ? Peut-être. Le mariage ? Les enfants ? Une maison ? Bien sûr, avec de la chance. C’étaient les objectifs qu’on m’avait apprit qu’il fallait atteindre, et une partie de moi y aspirait, instinctivement. Mais au fond de moi, je cherchais quelque chose d’autre, quelque chose de plus. J’avais la sensation aigüe que la vie était courte, plus courte qu’elle ne l’a jamais été, courte comme un jogging matinal, et je voulais que la mienne ait un sens. Qu’elle soit passionnée, créative et importante et par dessus-tout différente. Je voulais laisser une trace dans ce monde. Je voulais gagner. Enfin je voulais surtout ne pas perdre. Et c’est ce qui est arrivé. Mon coeur commençait à cogner très fort, mes poumons gonflaient, les arbres n’étaient plus que des tâches vertes et je voyais apparaître devant moi exactement ce que je voulais que ma vie soit. Je voulais jouer. Oui, c’est le mot. J’avais toujours soupçonné que le secret du bonheur, l’essence de la beauté, de la vérité ou de tout de ce qui vaut la peine d’être vécu, repose quelque part dans ce moment pendant lequel la balle est en suspension, quand les boxeurs sentent que la cloche va bientôt sonner, quand les coureurs s’approchent de la ligne d’arrivée et que le public se lève comme un seul homme. Il y a une sorte de clarté exubérante dans cette demi-seconde qui détermine les vainqueurs et les perdants. C’est ça que je voulais que ma vie soit au quotidien. Qu’on aime l’idée ou non, la vie est un jeu. Quiconque nie cette vérité, quiconque refuse de jouer se retrouve sur la touche et, plus que tout, je voulais échapper à celà. Tout cela m’a guidé vers mon Idée Folle. Je me suis dit que, peut-être, je dis bien peut-être, je devrais la reconsidérer une dernière fois. Peut-être qu’après tout, mon Idée Folle pourrait, qui sait… fonctionner ? Peut-être. J’ai pensé: non, non, il faut courir plus vite, plus vite, courir comme si j’étais à la poursuite de quelqu’un et que j’étais moi-même poursuivi en même-temps. J’allais réussir. Avec l’aide de DIEU, cette idée réussirait. Il n’y avait plus de « peut-être »>>. Je m’étais soudainement mis à sourire, et même presque à rire. Trempé dans mon sweat, me mouvant plus facilement que jamais, j’ai vu que mon Idée Folle brillait devant moi et qu’elle n’avait d’ailleurs plus l’air si folle. Cela ne ressemblait même pas à une Idée mais plutôt à une Personne, ou une Forme de vie qui existait bien avant moi, qui m’était extérieure, mais faisait tout de même partie de moi. Elle m’attendait, tout en se cachant. Cela peut paraître un peu extravagant, un peu fou. Mais c’est ce que j’ai ressenti à l’époque. À vingt-quatre ans, j’avais eu cette Idée Folle, et malgré ma peur du futur et mes doutes sur moi-même, comme tous les jeunes gens dans leur vingtaine, je me suis dit que le monde était fait d’idées folles. Les choses que j’aimais le plus(les livres, le sport, la démocratie, l’entrepreneuriat) sont nées à partir d’idées folles. L’histoire est une longue succession d’idées folles. Par ailleurs, on trouve peu de choses aussi folles que ma passion : courir. Rien ne m’a rendu plus redevable que l’écriture de ce livre. Ma gratitude est sans bornes. Evidemment, mes plus vifs remerciements vont aux 68.000 employés de NIKE à travers le monde, pour leurs efforts quotidiens et leur dévouement, sans lesquels il n’y aurait ni livre, ni auteur. Sans eux, il n’y aurait rien. Et aussi un immense merci, du fond du coeur, à ma Penelope que j’ai tant fait attendre. Elle a attendu quand j’étais en déplacement et quand je ne savais plus où j’en étais. Elle m’a attendu tous les soirs quand je rentrais à la maison, souvent tard, le dîner était froid, et elle a attendu encore ces dernières années quand j’ai vécu à nouveau tout cela à haute voix et dans ma tête, alors qu’il y avait des pans entiers d’histoires qu’elle n’avait pas envie de vivre à nouveau. Elle a attendu dès le début, il y a cinquante ans, et aujourd’hui, je peux lui tendre ces pages et lui dire à propos d’elle, de NIKE et de tout le reste : « Penny, je n’aurais pas pu faire ça sans toi. »>>
Extraire du livre l’art de la victoire.
Mon Frère, ma soeur, ta pensée est un aimant. Ta pensée vaut une mine d’or. Ta pensée à une puissance que tu ignores encore. Ait la rage, la fougue, la soif de laisser aussi ton Nom sur la Terre. Toi aussi tu peux devenir le Phil Knight de demain en réalisant le RÊVE AFRICAIN. Tu as ce pouvoir là. Lance-toi un défi. Un jour tu entendras parler de la marque JEKS partout dans le monde et on te dira que c’est un jeune Béninois de 24 ans qui l’a créée. Ne te laisse pas conter l’histoire, mais je veux que tu fasse également partir de l’histoire. Alors vise haut, beau et fort. YES YOU CAN.
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Ce thème peut être abordé dès le printemps, ou en fin d’année. Cet article est commencé depuis cet été, mais je voulais prendre le temps de le finaliser, je suis ravie qu’il t’ai plu ? Merci pour tes visites.